BTS’19 : Mon organisation minimaliste

Hello,

Comme vous le savez peut-être, j’organise cette série depuis des années sur le blog (depuis 2016 précisément). Et chaque année, je vous partage mon organisation. Sauf que cette année, les choses sont un peu différentes car j’ai très peu de matériel : next classeurs et cahiers, mon organisation devient minimaliste.

 

Mes fournitures

Comme je vous l’ai dit dans l’introduction, cette année je troque mes cahiers, feuilles et classeurs contre un ordinateur. Après de nombreuses recherches, j’ai finalement trouvé ce petit bijou. Il s’agit du Swift 1 de la marque ACER. C’est un 13,3 pouce. Il me semble que son prix était de 300€ mais je ne l’ai payé que 200€ en promotion. J’ai eu la chance de tomber sur l’un des derniers modèles, il me semble qu’il n’existe plus (hors reconditionnés). Je vous mets quand même ici, ici et ici des articles qui m’ont aidés pour choisir un PC portable

Ce n’est pas nouveau, j’ai une mémoire visuelle, c’est-à-dire que je m’aide de couleurs. Si vous êtes comme moi, je ne peux que vous conseiller les stylos bic à pointes fines. Par ailleurs, depuis ma seconde année de BTS communication, j’ai pris l’habitude de travailler avec des post-it à la place de fiches. Je trouve ce processus plus rapide car je ne note que les bases et mon cours est juste à côté si besoin.

J’utilise également des ‘whiteboard marked’ et un tableau Velléda blanc pour inscrire les choses que je dois faire. Cela évite de ne gâcher du papier avec des to-do list. J’ai également plusieurs couleurs, ce qui me permet de les classer en fonction de l’importance (noir = urgence ; rouge = à faire dans les 2 prochains jours ou encore vert = à faire dans le mois.)

Pour ce qui est de ma trousse, elle vient de Claire’s. C’est une mini-trousse de « secours » car comme j’ai un ordinateur, elle ne sert que si j’ai des documents à rendre ou des polycopiés. Il y’a donc des mini-stabilo pastel, un blanco et des stylos, une gomme et un crétarium. J’utilise également des sortes de post-it transparents.

Avec ça, j’ai une housse de protection à 20€ ainsi qu’une pochette plastique.

Mes applications préférées

Vous l’aurez surement remarqué, un indispensable manque à l’appel : l’agenda. Effectivement, depuis deux ans, mon agenda est numérique c’est à dire que j’utilise des applications connectées pour m’organiser. J’utilise notamment les applications Google. Le gros plus est que je peux, grâce à mon email, voir mes rendez-vous ou mes taches à effectuer de manière responsive (sur plusieurs devices : mobile et desktop). Je peux donc accéder à mon agenda sur mon ordinateur mais aussi sur mon téléphone.

Je peux programmer plusieurs alertes comme un événement précis (rendez-vous, vacances, séjour, conférences etc), une alerte (ex : devoir de sociologie, première partie du mémoire etc) ou encore un objectif quotidien (par exemple du sport). Les alertes envoient des notifications donc il n’y a pas d’oublis.

La deuxième application google que j’utilise est Google Keep. Cette application permet de prendre des notes. J’aime y noter les comptes rendus par exemple. Par la suite, je les récupère sur mon ordinateur et je les rédige. Le gain de temps est incroyable : plus besoin de tout re-noter.

J’utilise également Google Tasks en complément de google keep. Cela me permet d’éviter un nouvelle fois les to-do lists papier que je perds en 2 minutes.

Enfin, j’utilise depuis deux ans Google Drive. Cela me permet de stocker mes cours sur le cloud et de les retrouver rapidement. Seul bémol : il faut une connexion pour y accéder.

Depuis peu, j’utilise Evernote mais je vous en reparlerais quand je l’aurais testé plus en profondeur !

Autres fournitures

J’ai également toujours ma « Super-pochette ». A l’intérieur, on y retrouve des dolipranes, un carmex, un rouge à lèvre, un gel antibactérien, un tampon ou encore une crème pour les mains.

J’emporte aussi toujours un parapluie et ma carte imaginaire, Paris l’oblige.

 

J’espère que cet article vous aura plu !

On se retrouve demain pour un nouvel article de ce BTS19

Bisous

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BTS’19 : Desk tour

Hello !

Pour ce deuxième article de la série BTS’19, j’avais envie de vous montrer là où je passe le plus clair de mon temps quand je suis chez moi.

Je vous avais déjà montré mon petit coin travail en 2018 mais il faut savoir que je l’ai énormément agrandi car j’ai eu besoin de place et de rangements.

Mon bureau

Oui oui, je sais, je suis un clichée. Mais que voulez-vous… J’adore allumer une bougie quand je travaille. Ici, c’est une Jewel Candle, parfum Cozy Fireplace.

Pour ce qui est des pots à crayons, j’ai recyclé deux bougies super U. Dès que je les ai finis, j’ai nettoyé les pots afin de leurs donner une nouvelle vie.

De même, j’ai recyclé un bac à jacinthe afin d’y mettre mes livres de cours.

Enfin, on retrouve ma belle plante : il s’agit d’un dracaena marginata. Je trouve très important d’avoir un cadre de travail qui est agréable et personnalisé. Personnellement, j’adore être entourée de plante. Elle m’apaise et j’ai l’impression de mieux respirer. Pour son prix, elle était à 13€ chez Botanic pour un pot de 15cm.

 

Mon caisson

Pour ce qui est du caisson, il vient d’Ikea. C’est le MICKE et son prix est de 50€. Il est disponible ici.

Je l’ai choisi car je n’avais pas besoin de plus grand et il rentrait parfaitement entre ma porte et mon bureau. Seul point négatif : les tiroirs. L’ouverture est trop large et même fermés, on voit ce qu’il y a dedans…

La première chose que l’on voit, c’est une plante. Il s’agit d’une Dianella tasmanica. Je ne connais pas le prix car se sont des boutures.

Juste à côté de ma porte, j’ai mis un pot Ikea avec des gels pour les mains Baths and body works. Je les ai mis ici pour les avoir sous la main quand je pars le matin (et pouvoir sélectionner mon parfum)

Dans le premier tiroir, j’ai mis quelques indispensables que je devais garder sous la main. Je pense notamment à des trombones, une calculatrice, du scotch et une perforatrice. J’ai également une crème pour les mains et des élastiques.

Dans le second tiroir, j’ai regroupé mes surligneurs, mes stylos de couleur mais également des post-it. Vous découvrirez demain pourquoi je me sers d’autant de choses !

Dans le troisième tiroir, j’ai regroupé tous mes cahiers de notes, to do list et planneur.

Dans le dernier tiroir, j’ai mis deux trois pochettes car je ne savais pas où les mettre.

 

J’espère que cet article vous aura plu !

On se retrouve demain pour un nouvel article de ce BTS19

Bisous

BTS’19 : Stages et alternance, mon expérience

Hello !

Pour ce premier article BTS’19, je voulais vous parler d’un sujet très important pour moi : mes stages et ma future alternance. J’ai décidé de séparer en trois cet article : la première partie sera consacrée à mes stages, la seconde à mon alternance et la dernière aux différents tips qui m’ont aidé à décrocher mes stages et mon alternance.

 

 

  • La recherche de mon premier stage

Comme vous le savez peut-être, j’ai eu la chance d’effectuer deux stages pendant mon BTS. Reprenons les choses dans l’ordre. J’ai donc intégré mon BTS communication en septembre 2017. Directement ma prof principale nous explique que nous allons effectuer deux stages durant ce cursus : l’un en projet de communication et l’autre plus commercial. Le premier stage était en mai 2018 et avait une durée de 2 mois. Le second était en novembre et durait 6 semaines. Les durées des stages étaient très courtes et les conditions de compliqués (pas assez d’expérience, premier stage…). Elle nous a donc dit de commencer au plus vite nos recherches.

Je commence donc mes recherches en fin septembre. Point important : j’ai toujours été attirée par les entreprises à forte notoriété. J’ai donc démarché plusieurs grosses enseignes tel que LVMH, Suez ou encore Le slip français. Les mois passent, les refus aussi. « Nous ne prenons que pour 6 mois », « Vous n’avez pas d’expérience », « vous êtes trop jeune » ou encore « je n’ai pas de poste disponible pour le moment ».

Je garde malgré tout confiance et le 17 novembre, j’envoie donc une première candidature à JCDecaux. Je ne le sais pas encore mais je viens de postuler au siège social mondial hors ils ne prennent que les stages de six mois. Réponse négative, la période étant trop courte.

Je décide donc de réessayer mais cette fois via des contact qui gèrent les vélib’ de JCDecaux sur Paris. Réponse négative : ils ont perdu l’offre à Paris.

Je tente une dernière fois ma chance en demandant de l’aide à une seconde année qui accepte gentiment de me donner les coordonnées du directeur de l’agence mais au local cette fois. J’appelle et enfin j’ai un rendez-vous !

Pour ce qui est de mon contrat, l’établissement l’a envoyé le 5 mars 2018 et j’ai signé le 22. Généralement les procédures prennent énormément de temps car les contrats passent par le service concerné puis par les ressources humaines, par votre école et enfin par vous.

  • Mon stage chez JCDecaux

J’effectue donc mon premier stage en vente de solution de communication du 14 mai au 6 juillet 2018.

Ce stage était ma première vraie expérience dans la vie professionnelle et surtout dans un domaine qui n’était pas celui que j’aimais le plus : le commerce.

Avec le recul, j’ai eu beaucoup de chance. Non seulement, j’étais parfaitement intégrée à l’équipe mais en plus le commercial à qui j’ai été affiliée m’a permis de suivre avec lui ses dossiers. A chaque action, de la prospection téléphonique aux signatures de contrats, j’étais avec lui. Les trois quarts du job se passent avant le rendez-vous : les deux tâches les plus importantes sont la prospection téléphonique ou terrain et la préparation des documents nécessaires au rendez-vous. Par la suite, il y’a également les rendez-vous et signatures de contrat, et même si c’est la partie la plus cool du job car c’est un aboutissement, elle ne représente qu’un quart du travail.

 

La dernière semaine arrive, je clôture mon rapport de stage et je prends des contacts. Avoir des contacts est très important, mais je vous en reparle à la fin de cet article.

 

  • La recherche de mon second stage

Je suis officiellement en vacances après deux mois de stage. Le programme est chargé : le 7, je pars en vacances dans le sud jusqu’au 21. Par la suite, je travaille à Playmobil du 23 juillet au 10 août puis je m’envole pour la Floride du 14 août au 26 août. Mais entre tout ça, je dois trouver un stage pour Novembre.

En effet, dans mon cursus, je dois aussi effectuer mon stage en conduite de projet du 12 novembre au 21 décembre 2018. Je sais que ça risque d’être compliqué alors je commence à chercher dès le 9 juillet. Le 12 juillet, je contacte celui qui sera mon futur maître de stage au sein de Marie Claire. Je reçois le 17 juillet, on fixe un rendez-vous entre mon CDD et mon voyage : le 13 août. Après le rendez-vous, il me semble que j’ai eu la réponse fin Août ou début septembre.

Je commence mon stage chez Marie Claire le 12 Novembre. Ce stage a été pour moi une vraie révélation. Si vous voulez connaitre une journée type, j’avais écrit un article disponible ici. Je m’occupe donc des publicités sur les sites internet du groupe : je dois les mettre en ligne et vérifier leurs avancées.

Parmi les deux stages, c’est celui-ci que je retiens le plus pour plusieurs raisons. La première est que le domaine m’intéresse : il allie édition, publicité, mode, beauté & lifestyle. Vous imaginez donc que j’étais totalement dans mon élément ! La seconde raison était surement l’équipe. A JCDecaux, l’équipe était formidable mais être commercial c’est être souvent sur le terrain. Là, j’avais un bureau à côté de l’équipe et j’étais de nouveau totalement intégrée à l’équipe mais cette fois nous mangions ensemble, nous prenions des pauses café ensemble etc. L’ambiance n’était pas la même, nous parlions aussi de nos vies à l’extérieur. Je pense que la période jouait aussi : j’ai effectué mon premier stage avant les grandes vacances et le second pendant la période de Noël. Et Noël chez MC, c’est magique. Enfin, la dernière raison était que j’étais dans un domaine qui me correspond plus que celui de la vente : la gestion de projet, mais avec un rapport à la publicité. J’ai terminé mon stage le 21 décembre, juste avant Noël.

  • Ce que je retiens de ces stages

J’ai eu beaucoup de chance de tomber sur deux équipes géniales, qui m’ont toujours poussées à m’affirmer, qui m’ont appris à la perfection deux métiers qui ne sont pourtant pas si simple et à qui je dois beaucoup. C’était un réel bonheur de travailler avec eux, et de me lever chaque matin. J’ai pu entendre certaines personnes de mon ancienne promotion parler de leurs stages comme s’il allait chaque matin travailler en enfer.

Professionnellement, j’ai énormément appris avec ses deux stages. Après JCDecaux, j’ai appris le métier de commercial, avec ses complexes. Mais j’ai encore plus appris au niveau personnel. J’ai appris à défendre mon CV et mes compétences, à transformer les aspects négatifs en points positifs mais surtout à assumer mes choix. Chez Marie Claire, j’ai pu apprendre énormément de choses sur le domaine de la publicité. Il faut savoir que c’est un domaine que nous n’abordons que très peu en BTS communication mais qui est très prisé par les entreprises car il rapporte gros.

Après ce second stage, j’ai compris que j’aimais réellement travailler dans le domaine de la beauté, du lifestyle et de la mode. Evidemment, j’ai toujours été attirée par ce domaine, sinon ce blog n’existerait pas ! Mais je ne pensais pas que cette passion s’étendrait autant au niveau professionnel. En revanche, j’ignorais que j’aimais le domaine de l’édition. C’est pour cela que j’ai choisi une alternance dans un nouveau domaine. Je suis le genre de personne a penser qu’il y a encore pleins de métiers et de domaines à découvrir et qui sont tout aussi enrichissants. Je n’ai pas envie d’être emprisonnée dans ce domaine « girly » pour l’instant.

 

Cette seconde partie devrait être plus courte. Comme je vous l’ai dit précédemment, j’intègre BNP Paribas Cardif en Septembre pour une durée d’un an en tant qu’alternante chargée de communication junior. Cette fois, je serais dans le domaine de l’assurance et de la relation client. C’est donc un nouveau challenge pour moi. Mais Rome ne s’est pas faite en un jour, il a fallu énormément de temps pour que je trouve cette alternance.

Tout à réellement commencé en Mars dernier. Avant, tout était simple : j’étais sûre d’intégrer ma licence professionnelle expertise média et stratégie de communication en Septembre et reprendre le poste d’une ancienne au sein du service marketing de Marie Claire. Ma prof m’avait dit que j’aurais cette licence, mon ancienne équipe au sein de MC m’avait recommandée, c’était parfait.

Mais le 27 mars, je reçois un mail de refus d’admission de la part de ma licence. Je panique car je n’ai plus d’école. Je postule donc dans une licence à Evry et dans deux écoles de communication sur Paris. Après plusieurs semaines de stress, je suis acceptée dans les trois. Mais j’apprends parallèlement que je n’aurais le poste chez Marie Claire que si je suis dans la première licence. Heureusement, je suis recontactée pour passer un entretien afin d’avoir une seconde chance dans la première licence. Je suis finalement acceptée et je me dis que c’est la fin de la galère. Si seulement !

Début Mai, j’apprends que le poste chez Marie Claire a été gelé pour cette année. Maintenant que j’ai mon école, je me retrouve sans alternance. Génial. C’est donc parti pour 3 mois de recherches intensives. Je postule partout, je fais jouer mes réseaux sociaux professionnels, mes anciens contacts… Tout. J’obtiens un deux rendez-vous grâce à ma licence l’un pour du commercial chez Atout Neuf et l’autre pour de la communication interne chez SNCF. Grâce à LinkedIn, j’obtiens un rendez-vous dans la régie de Fnac-Darty. J’apprends plus tard que je suis refusée à cause de mon rythme. Je vous avoue qu’à ce stade, c’était très dur moralement. Puis un jour, je regardais les offres sur LinkedIn et je tombe sur un poste qui me plait énormément. Seul bémol : c’est pour un Bac+5 et je ne suis qu’en bac+3… Je le sauvegarde quand même mais le laisse de côté. Jusqu’à ce que j’en parle avec mon père qui me dit qu’il connait les personnes de ce service et me propose d’essayer de passer mon CV. Résultat, j’obtiens un quatrième et dernier entretien au sein de BNP Paribas Cardif. J’apprends que je suis prise le 11 juillet, la veille de mon départ pour Los Angeles.

 

Comme vous l’avez peut-être compris, je n’ai pas une expérience de dizaines d’années, mais j’ai quand même retenue plusieurs leçons de ces recherches. Je vous ai fait une petite liste :

  • Créez un document Excel pour recenser vos contacts ainsi que l’avancée de vos rendez-vous.
  • N’hésitez pas à aller vers les gens, osez. C’est bête à dire mais si vous ne forcez pas les portes, les recruteurs penseront que vous n’êtes pas motivés et passeront à un autre dossier.
  • Visez les gens qui travaillent dans les services et les RHs. Les services connaissent leurs besoins en stagiaires ou en alternants.
  • Les réseaux sociaux sont très importants. Que ce soit pour votre image professionnelle ou pour les offres d’emplois, les possibilités sont multiples avec eux. Ils montrent également votre professionnalisme et votre implication.
  • Notez bien vos rendez-vous et préparez-les. Rassemblez vos travaux dans un book, montrer vos compétences avec des documents ppt. N’oubliez pas vos portfolios le jour de l’entretien.
  • Le plus important des conseils est de rester motivé après un échec. Des échecs, vous en aurez. Parfois ils seront violents, parfois neutres. Mais le plus important est de les surmonter. Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent : des parents, des amis, des professeurs…
  • N’oubliez pas les lettres de recommandation. Elles sont primordiales pour vous assurez des points en plus.
  • Ne faites pas votre rapport de stage ou votre mémoire au dernier moment. D’un, vous ne vous rappellerez plus la moitié des taches que vous avez effectuées, de deux, vite fait mal fait et de trois, une nuit blanche n’est jamais bonne.
  • Se créer une base de contacts que ce soient vos collèges, maitre de stages, autres services mais aussi amis de vos collèges d’autres société.
  • Enfin, gardez des contacts avec vos anciens employeurs. Que ce soient des messages pour les fêtes, pour votre diplôme ou même si vous passez les voir, ils se souviendront de vous positivement. C’est très important car ils peuvent vous aider pour la suite.

 

J’espère que cet article vous aura plu.

Il était un peu long, celui de demain devrait être plus court !

A très vite !

Romane

 

One Week : BACK TO SCHOOL

Hello hello !

Comme chaque année, j’ai le plaisir de vous retrouver pour une semaine spéciale. Vous l’aurez compris, je vous annonce l’ouverture de la série Back To School !

Cette année, elle aura lieu du 19 au 23 août car ma rentrée en bac+3 est le 26 août.

Après deux ans de travail, j’ai obtenu en Juillet dernier mon BTS communication. Je rentre donc en licence professionnelle expertise média et stratégie de la communication. Pour ceux qui ne le savent pas, une licence professionnelle est en alternance. Mon rythme est de trois jours (lundi, mardi et mercredi) en entreprise et deux jours en centre de formation. Concernant mon entreprise, j’ai réussi à intégrer le service communication digital de BNP PARIBAS CARDIF.

L’an dernier déjà, mon but était de moderniser le type d’article afin de le rendre le contenu plus attractif mais surtout plus cohérent avec ce que je vivais. Je reviens donc cette année avec le même objectif. Toutefois, j’avais envie de garder cette partie « Back To School originals » comme j’aime l’appeler. Cette année, il y aura donc des articles plus conseils et étudiants et d’autres plus lifestyle, beauté et même mode ou encore décoration.

Sans tarder, voici le programme de cette année :

 

J’espère que vous serez au rendez-vous !

A très vite !

Romane

Aujourd’hui, je positive !

Hello Hello !

On se retrouve pour un article un peu spécial mais que j’avais énormément envie de faire en ce 3ème jour de Back to school !

(Merci à ma douce Ju’ pour m’avoir donné l’idée de traiter ce sujet, j’espère qu’il pourra en aider plusieurs.)

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Positiver c’est quoi ? Selon notre copain le dictionnaire, positiver c’est présenter, envisager quelque chose sous un angle positif, constructif ; faire preuve d’optimisme.

Que ce soit dans votre vie professionnelle comme personnelle, positiver est important pour garder la tête froide. La plupart du temps, j’ai pu remarquer que le manque de positivisme vient en partie du stress qui ruine les envies de faire certaines choses et piétine la confiance en soi.

 

RELATIVISER

Le plus important pour positiver c’est de relativiser. Parfois c’est très compliquer de le faire, mais une fois accompli, tout parait plus simple.

  • Regardez ce que vous avez accompli par le passé

Que ce soit scolaire, professionnel ou encore privé, on a tous fait des erreurs. Mais le plus important c’est que l’on a tous accomplis des choses plus ou moins grande. Vous vous rappelez quand vous avez eu votre première image / bon point ? Quand vous avez eu votre brevet, comment ça paraissait compliqué ? Quand vous avez fait votre premier stage ? Et quand vous avez travaillé votre bac ? Ce sont toutes ses petites victoires qui doivent vous rester en tête. Rappelez-vous les bons moments, les moments de réussite. Rien de mieux pour vous tourner vers le futur.

  • « Oui d’accord mais j’ai un stage à trouver pour dans 4 mois !!! »

D’accord, je comprends. Mais regarde, tu as un rapport de stage pour dans une semaine. Tri les informations, prévois-les. Positiver passe aussi par le fait que tu as bien gérer ton planning. Je m’explique : si tu gères ton planning à l’avance, tu n’auras pas de dernières minutes, donc moins de stress. Tu verras que tu auras accompli les choses dans l’ordre et que tu ressentiras de la fierté parce que tu as tout fini à l’heure. Et ça c’est bon pour le moral.

 

SE DONNER LES MOYENS

Soyons réaliste, rien ne viens seul dans la vie. C’est à vous de vous donner les moyens, d’avoir l’envie de réussir. Alors j’aimerais vous donner la formule magique, mais malheureusement il n’y en a pas. Alors certains me diront « Oui mais Romane, tu as bien deux trois astuces ? », oui c’est vrai.

  • Une forte envie ? Absolument !

Les recruteurs ne sont pas bêtes, ils savent si un candidat est vraiment intéressé ou non par un stage. Si vous voulez vraiment un stage, tentez votre chance ! Oui, vous allez prendre des refus dans le nez. C’est certain même. Mais un refus ne veut pas dire un échec. Un échec c’est quand vous ne l’avez pas fait pour ne pas prendre de refus. Ça c’est un échec et un vrai. Rappelez-vous toujours de ça : un refus peut n’être que provisoire. Peut-être que ce n’est juste pas la bonne voie d’entrée, ou bien pas le bon timing. Qui sait l’entreprise que vous visez vous prendra peut-être en master ou en alternance ?  N’oubliez pas qu’il est plus simple de tenter sa chance après un premier refus parce que l’entreprise voit votre détermination.

  • Faut-il avoir une pointe d’audace ? Aller une pointe seulement !

Par audace j’entends « Tendance à oser les actions difficiles ». Oui faire le premier pas c’est dur la première fois. Mais par la suite vous verrez que ce sera de plus en plus simple. Chacun de nous a une part de commercial en lui. Grossièrement, vendez vos savoirs faire, vendez votre expertise, vendez votre caractère. Vous êtes une personne singulière, faites-le découvrir aux potentiels recruteurs.

  • Et la langue dans tout ça ? (Aie Aie Aie, sujet sensible…)

Bon, nous allons être claire. Personne, je dis bien PERSONNE, ne vous laissera votre chance si votre façon de vous exprimer (orthographe y compris) laisse à désirer. Rendez-vous bien compte que c’est le nerf de la guerre. Et puis stop les « Oui mais je suis nulle ». D’un, ce n’est pas positif, de deux avec tous les outils disponibles (word, correcteur etc), vos arguments sont par terre… Alors oui, une boulette, ça arrive, d’ailleurs je suis la première à la faire ! Mais 10 par lignes, n’abusons pas !

 

LA CONFIANCE EN SOI

  • Adopte une image positive de toi.

N’en faites pas trop, il faut avoir des demis mesures. Je vois déjà certaines personnes venir me dire « je n’ai pas confiance en moi… ». Moi non plus je n’avais pas confiance en moi pour tout vous dire. Les premiers rendez-vous était un calvaire. Plus tard j’ai appris qu’on voyait en moi quelqu’un de très sure d’elle alors que ce n’était qu’un rôle. Alors oui, « il ne faut pas jouer un rôle ». Et bien je ne suis pas d’accord. Parce que faire semblant d’avoir confiance en soi aide vraiment à l’avoir. Jouer un rôle lorsque j’ai passé mon premier entretien m’a permis de développer ma confiance en moi, d’être de plus en plus sure. Au début, je ne me sentais pas super bien, ça me faisait peur. J’ai donc cru en moi, en ce que je savais faire et j’ai foncé. Plus le rendez-vous avançais, plus je me sentais à l’aise et j’ai retrouvé ma confiance en moi. Soyez convaincu de vos savoir-faire et de vos compétences.

  • Ne te compare pas aux autres

Des meilleurs que toi, il y’en a. Il y’en aura surement toujours. Mais à quoi bon se dévaloriser ? Tu es unique, tu as tes propres qualités et c’est à toi de les mettre en avant. Encore une fois, tout est une question de confiance en soi. Envier les autres ou jalouser les autres pour tel ou tel chose ne sert à rien. Fait de ton mieux pour arriver à faire mieux qu’elle ! N’oublie pas que cette personne que tu jalouses, jalouses surement une autre personne. Au final, mieux vaut ne jalouser personne et donner tout ce qu’on a pour se satisfaire soit même.

 

GÉRER SON STRESS

Passons à la partie la plus compliquée. Je suis du genre stressée aussi, mais il y’a un moment pour tout. Tu ne peux pas te permettre de te rendre à un rendez-vous pro stressé et de bafouiller. Prends une grande inspiration, est confiance en toi et tout ira bien. Généralement le stress vient d’un manque de confiance en soi. Ça peut être à cause d’un manque de rigueur, ç cause d’une première fois ou autre, mais sache que si tu as confiance, tout se passera bien.

 

« Euh ton article c’est le positivisme pas la confiance en soi ni les moyens à mettre en œuvre ! »

Toutes les notions sont liées. Lorsque vous vous donnez les moyens, vous faites le premier pas sur le positivisme. Oui parce que vous verrez que ça fini par payer. Et là, le stress de ne pas avoir son année à cause de son stage ou encore de ne pas trouver de quoi payer son loyer s’envolera. Et puis ne plus vivre dans le stress et réussir c’est projet, c’est ça les clés du positivisme ! Parce que vous vous direz « Je suis capable, regarde je l’ai fait ! » et lors de la prochaine épreuve, le stress sera moins présent qu’avant.

 

MON EXPÉRIENCE

J’ai souvent été du genre à travailler au dernier moment (le plus souvent dans le stress d’ailleurs) ce qui me faisait perdre mes moyens. Je me disais « c’est trop tard », « Je n’y arriverais pas » ou encore « Je n’en suis pas capable ».

Toutes ses petites phrases qui viennent s’accumuler à « oh machin elle a trouvé son stage de 3ème chez Dior » ou encore « Oh Truc elle a 18 de moyenne ».

Et ce n’est pas les dires de mes enseignants et CPE qui aurait changé la donne : « Romane ne fait pas son maximum, pas de félicitation. », « Peut mieux faire » etc etc (oui j’en ai entendu des phrases plus démotivantes les uns que les autres).

Et quand je finissais dans un état horrible à la fin du conseil, on me sortait « C’est pour te tirer vers le haut ».

Autre exemple, lorsque j’ai dû choisir es études SUP et que je savais où je voulais aller, combien de réflexion je me suis prise concernant mon BTS ! « Mais Romane enfin ! Une ES ça va en fac, les BTS sont pour les STMG ! » « Tu sais, tu as le potentiel pour faire des études de droit, toutes les facs t’ont prise ! » …

Oui mais moi je veux faire un BTS communication, pas de fac, pas de droit, juste de la COM.

Alors je vous le demande, comment ne pas perdre la totalité de la maigre confiance en moi que j’avais ?

Heureusement j’ai toujours eu un cadre de vie super, avec des parents qui me relevait, mais ce n’est pas le cas de tout le monde. J’ai de la chance, je n’ai pas eu un parcours de vie tout rose, ce qui m’a forgé. Mes stages j’ai dû remuer ciel et terre pour les trouver, j’ai contacter des dizaines d’entreprise, fait les dizaines de lettre de motivation, pris des dizaines de refus. Mais je n’ai jamais lâcher.

Aujourd’hui j’ai eu mon bac. Aujourd’hui je suis en deuxième année de BTS communication. Aujourd’hui je me suis donnée les moyens d’avoir de très bonnes expériences professionnelles dans de très grande entreprise mondiale. Aujourd’hui j’ai envie de travailler pour un avenir le plus confortable possible, dans un cadre de vie que je me donne les moyens d’avoir.

 

A travers cet article, j’aimerais que vous compreniez que vous êtes tous formidables. En aucun cas vous de ne pas lâcher. JAMAIS. Croyez-en vous. Vous êtes capable de grandes choses !

A demain,

Romane

Comment mettre en avant mon CV ?

Hello Hello les dailies !

Après un été plutôt reposant, je reviens pour une semaine de Back To School un peu spéciale ! Si vous avez suivi mon parcours, vous savez que je rentre la semaine prochaine en Bac+2. Pour ce deuxième article, je vous explique comment faire et quoi mettre sur un CV.

Avant de commencer cet article je tiens à dire que tout ce dont je vous fais part ici émane de leçons de mes professeurs ainsi que de discussion avec des RH, des designers ainsi que des professionnels de la communication.

ATTENTION : Certains CV (je pense en partie aux personnes qui postule à l’étranger) ont une autre forme que celle proposée ci dessous ! Tous les pays n’ont pas les mêmes idées d’un CV, renseignez-vous préalablement. Ce type de CV ne correspondra peut être pas à votre domaine.

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Tout d’abord, les choses à ne pas faire ! On a déjà tous fait (oui oui, moi aussi) un CV à la va vite pour le stage de troisième. Mais à cette époque-là vous ne maîtrisiez pas le pack web et Word n’était pas aussi développer qu’aujourd’hui !

Parce que oui, aujourd’hui même si on ne s’y connait pas en matière de logiciel, Word propose des CV pré remplis à ajuster comme vous le souhaiter.

Revenons à nos moutons, les erreurs à ne pas faire.

  • Les CV trop simple

Comment vous dire ce que fait une RH de ce type de CV… Imaginez-vous bien que ce dernier vous reflète… Un CV riche et personnel montre une personne investie et vous place au-dessus de la pile des candidats. A contrario ce type de CV n’est pas agréable à lire, et ne donne pas envie de rencontrer la personne.

  • Les CV « Catalogue »

Ceux-là je crois bien que ce sont les pires. Outre le fait que vous avez intérêt à marquer vos pages et à attacher le tout solidement, personne ne prendra la peine de lire vos expériences de collège si vous êtes dans les études supérieures. Il faut savoir trouver ses priorités sur un CV. Demandez-vous qu’est ce qui est le plus important entre le job d’été que vous avez fait pendant deux mois cette année ou votre stage de 3ème dans l’épicerie en bas de chez vous ? Savoir faire le tri est très important car cela reflète une image d’organisation. Rappelez-vous que rien ne vous empêche de développer plus vos expériences telles quelles soit lors d’un rendez-vous.

  • Les CV enjolivés

Le savez-vous , d’après une récente étude, 80% des CV sont enjolivés. C’est sur ça peut vous servir pour attirer les recruteurs, mais n’oubliez pas qu’ils ne sont pas dupes. A quoi bon obtenir un rendez-vous si c’est pour qu’il soit négatif parce que le recruteur cherchait un type de personne que vous avez inventé.

 

Ça c’est une bonne question ! Lorsque que je l’ai posé, j’ai eu une réponse presque unanime : mettre des formes et des couleurs. Un CV doit être quelque chose de personnel qui vous reflète. Votre couleur préférée est le jaune ? Mettez-le en avant.

N’oubliez pas que votre CV doit être esthétique tout en restant quand même assez sobre. Le but n’est pas de le surcharger avec des tonnes de détail. Un fond, deux ou trois pictogrammes, deux couleurs dominantes max et hop le tour est joué.

N’hésitez pas à changer certaines polices par exemple pour les titres mais faites attention à ne mettre que deux polices pour ne pas surcharger le contenu. La forme est aussi importante que le fond.

Pour les catégories, je vous conseille de mettre Votre Nom et Prénom en premier, on doit savoir à qui il appartient au plus vite. Après ce qui occupe votre vie par exemple moi je suis « Etudiante en BTS communication ». Ensuite votre profil, décrivez-vous rapidement et expliquez l’objectif de ce CV, par exemple « Je recherche un stage dans le domaine de… ». Bien sûr, on n’oublie pas de mettre ses expériences et ses formations. L’expérience prime donc si avez déjà eu un job, mettez-le en avant, dans le cas contraire mettez votre parcours scolaire).

Attention ! Si vous avez fait du bénévolat ou un voyage humanitaire, mettez-le aussi, cela montre votre implication.
Enfin si votre métier l’exige, mettez vos compétences. Souvent sous forme de schéma, c’est plus ludique. Par exemple moi en communication je sais faire de la gestion de projet, je maîtrise la suite adobe etc etc..

 

Je vous ai fait quelques idées de CV :

 

 

  • Les CVs Vidéos

Ces CV sont un très bon moyens de se démarquer, faites le à votre image !

 

Généralement les plus utilisés sont Word et PowerPoint. Personnellement j’ai utilisé Word pour mon tout premier CV mais je suis vite passé à PowerPoint parce que lorsque l’on maîtrise les logiciels, on peut plus exprimer sa créativité.

 

De plus, je vous propose le site « Canva« . Ce site vous propose plusieurs modèlestout prêt que vous n’avez plus qu’à replier. Bien sûr le mieux est de le faire soit même mais parfois ce genre de coup de pouce peut s’avérer très utile. Il n’est pas spécialisé que pour le CV, mais bon vu que c’est quand même le cœur de cet article, je vous invite à aller voir directement sur le site tout ce qui peut être fait.

 

 

Bien sûr, d’autres sites existent, mais faite attention à leur coût. Ce n’est pas un partenariat, je tiens à le préciser, juste un site que j’utilise au quotidien. J’ai tenu à le mettre en avant parce que c’est le seul que j’ai trouvé et qui regroupe plusieurs modèles plus esthétiques.

 

Je pense avoir fait le tour ! Si vous avez des questions n’hésitez pas !

A demain pour un nouvel article !

Gros bisous !